Faire construire sa maison n’est pas seulement le projet d’une vie auquel aspirent près 70% des Français*. C’est aussi un choix de raison d’un point de vue économique. Car, plus performantes, les maisons neuves sont, de fait, plus économiques.
Avec les différentes réglementations thermiques et notamment la RT 2012, qui divise par plus de 4 la moyenne nationale de consommation sur le bâti**, elles garantissent ainsi moins d’énergie dépensée pour plus de confort au quotidien.Ainsi, à superficie de 100 m2 égale, une maison neuve, classée A dans le diagnostic de performance énergétique (moins de 50 kWh/m2/an), conformément à la RT 2012, permettra d’économiser plus de 1500 € par an par rapport à un logement noté D sur le DPE.
Des avantages économiques nombreux
Toutefois, l’économie ne s’arrête pas là. Porter un projet immobilier individuel dans le neuf revient aussi à bénéficier de frais de notaire réduits (2 à 3% dans le neuf, contre 6 à 8% dans l’ancien) et d’avantages fiscaux (exonération de taxe foncière pendant 2 à 5 ans selon les communes), mais aussi à s’exonérer de charges de copropriété.
Par ailleurs, les porteurs de projet de maison individuelle neuve peuvent profiter de dispositifs d’aide au financement, tels que Prêt à taux zéro renforcé ou le prêt social location-accession.Enfin, neuve, la maison profite d’aménagements dernier cri, elle ne nécessite donc pas de travaux à court ou moyen terme.
Des garanties + poussées pour + de sérénité
Réseau de constructeurs régionaux engagés depuis plus de 30 ans en faveur de l’accession à la propriété, Maisons d’en France a développé 4 garanties complémentaires. Celles-ci viennent compléter les garanties incluses dans le contrat de construction de maison individuelle (CCMI) et permettent au porteur de projet de faire construire l’esprit tranquille. Garanties Clarté, Sécurité, Sérénité et Contrat-Revente sont à découvrir ici.
*Enquête PAP réalisée pour le salon Faire construire en 2014
** En 1974, la moyenne nationale de référence de consommation sur le bâti était fixée à 225 kWh/m2/an (sujette à différenciation selon les zones), contre 50 aujourd’hui.