Faire construire sa maison commence par bien choisir son terrain et son emplacement ! Un emplacement qui reste une constante clé dans le secteur immobilier et dont dépendra en partie votre confort.
Être à proximité des écoles, des services, des commerces, des transports voire de votre lieu de travail peut non seulement vous faciliter la vie mais devenir également une vraie source d’économies.
Selon un récent sondage*, les Français sont aujourd’hui 71 % à privilégier la maison par rapport à l’appartement, contre 58 % en 2011… et toujours selon cette même enquête, 38,4 % aspirent à habiter dans une villa en zone urbaine, devant ceux qui rêvent d’une maison dans un village (17,3 %)… Un souhait de vivre en ville qui est devenu, au cours de ces dernières années, un désir majeur pour les acquéreurs.
Les raisons ? Par praticité sans nul doute, mais également pour des questions de trajet et de budget. Le prix de l’essence, l’achat d’un second véhicule et bien entendu le coût d’une assurance voiture supplémentaire incitent un grand nombre de ménages à se rapprocher de leur lieu de travail, des commodités et à faire construire dans un périmètre bien déterminé.
Une règle d’or
On ne le dira jamais assez, l’emplacement d’un bien reste une constante… la règle d’or de tout achat immobilier ! Un emplacement de qualité avec une bonne desserte routière ou ferroviaire vous assurera la valorisation de votre maison sur le moyen/long terme. Il n’est jamais trop tôt pour penser à la revente de votre logement, d’autant que si cette maison est votre résidence principale, vous serez exonéré de l’imposition sur la plus-value à la revente.
Faire construire, un bon investissement
La pierre reste indéniablement une valeur refuge, c’est une excellente façon d’épargner. En faisant construire votre maison, vous vous constituez un capital à transmettre à vos héritiers ou pour votre retraite. Une fois votre crédit remboursé, c’est la solution idéale pour accroître votre pouvoir d’achat tout en ayant toutes les commodités à portée de main !*Voir l’article paru dans Les Échos début février, consultable ici.